vendredi 30 avril 2010

avatar


























Je me permets de préciser que toutes ces images sont des captires d'écran de mon dvd, comme les autres, hormis les photographies numériques.

jeudi 29 avril 2010

auguri cathychat !



Joyeuse fête ma soeurette !

bonus : feu d'artifices tiré hier soir à Joigny

mardi 27 avril 2010

avatar (ter)

Deux comédiens émergent du film de Cameron : Sam Worthington et, surtout, Stephen Lang qui, si ça n'avait tenu qu'à moi, aurait eu l'oscar du meilleur acteur pour sa performance d'ordure parfaite...
























lundi 26 avril 2010

not born in the usa



Celui-ci a ramené un oscar...


... celui-ci, disons qu'on en parle beaucoup (et merci à yann pour l'info !)

dimanche 25 avril 2010

lectures toulousaines (mais pas que)

Jeudi après-midi, en préambule aux conseils de discipline qui m'attendaient, je suis descendu dans le centre-ville de Joigny. Je me suis installé en terrasse et, là, pendant une bonne heure, j'ai siroté des cafés et des perriertranche en lisant Mindstar de Peter F. Hamilton. C'est le premier tome d'une saga d'anticipation, antérieure à celle de l'Aube de la nuit, et qui se déroule en Angleterre. C'est toujours aussi excitant de découvrir un nouveau Hamilton et puis ça me permet de me disraire de mon idée fixe du moment (enfin, ça fait des mois, mais bon là ça urge) : trouver le tome 2  de la Théorie du Chaos de Patrick Ness. Je me revois encore à Toulouse (où j'ai pas mal lu en terrasse aussi), pestant et rageant intérieurement, maudissant et vouant aux gémonies les librairies qui, non contentes de ne pas pouvoir me renseigner sur la date de sortie de Le Cercle et la Flêche, n'avaient même pas en rayon La voix du couteau alors que je voulais l'offrir à un ami...
Je continue toujours à lire le Trône de fer (j'en suis au tome 5 dans la version poche) et j'ai même offert le premier tome à un ami pour qu'il s'en régale vite fait bien fait, mais je me le réserve pour le coucher, pour accompagner mon endormissement.
Sinon, à Toulouse, on m'a aussi offert des livres !
Ainsi, mon hôte inhabituel m'a fait le présent du volume 5 de Les Cahiers d'Adèle, une revue littéraire toulousaine dans laquelle une nouvelle qu'il avait écrite pour l'occasion était publiée ! Son texte était épatant, très perturbant aussi car il y réussit à déstabiliser le lecteur plusieurs fois d'affilée, sans vraiment crier gare, dans un même mouvement qui file le vertige. Auguri Poky ! 
Et puis vu que c'était  mon anniversaire, ma soeurette m'a offert deux livres auxquels je n'aurais pas pensé et qui pourtant m'ont fait beaucoup plaisir : Mainstream est une réflexion sur la nature et l'importance de cette culture qui transcende les genres et plaît au plus grand nombre et qui, en grande partie, se trouve aussi être la mienne. Je suis curieux d'en apprendre plus, mais sa lecture devra attendre. Et tant mieux car c'est à ça qu'on reconnaît les meilleurs présents : leur persistance temporelle...
L'autre est sobrement intitulé L'art des séries télé et se propose de décrypter la réussite de celles-ci mais vues par le prisme d'une grille de lecture littéraire pas si banale et très enrichissante. Je l'ai bien attaqué, un peu par hasard, et aux toilettes. Et j'en suis très satisfait, d'autant plus que de prime abord, sans aucune modestie je ne pensais pas apprendre grand chose sur cette question et la vérité m'oblige à dire que je fais profil bas à chaque page que je tourne en en profitant d'autant mieux !

samedi 24 avril 2010

flashpoint

DOU FO SIN aka FLASHPOINT est un film hongkongais de Wilson Yip de 2007 opposant, principalement, Donnie Yen et Collin Chou dans des combats (la dernière séquence en partiulier) d'une rare violence car se voulant hyper-réaliste.









Donnie Yen que les amateurs connaissent pour ses rôles dans le HERO de Zhimou ou le SPL de Yip (où il affrontait Sammo Hung) est un combattant réputé qui a fait ses armes comme cascadeur et développe, en dépit d'une filmographie cahotique, son savoir-faire avec une indéniable présence physique qui ne sont pas sans rappeler celles du Chow Yun-Fat de l'époque Woo.











Quant à Collin Chou, c'est la révélation de ce film. Son animalité, la fluidité de ses déplacements et son sourire carnassier en font un méchant crédible et attachant. Curieusement, il est connu en Occident pour avoir interprété le bon (et fâde) Séraph dans les deux derniers épisodes de la saga MATRIX.

vendredi 23 avril 2010

un de sauvé (les autres suivront-ils ?)

Hier après-midi, pour la seconde fois de la semaine, j'étais de corvée de conseils de discipline. J'entends bien peser ces quelques mots. La corvée, je ne la regrette pas au sens que j'ai fait le choix de me présenter au suffrage de mes collègues pour des motifs syndicaux et je suis plutôt fier de cela. L'un des devoirs d'un élu au conseil d'administration peut-être d'appartenir aussi au conseil de discipline et j'avais à nouveau choisi de l'accepter. En effet, tout douloureux et souvent pénible que cela soit, cela fait aussi partie du système dans lequel j'évolue et qui a une justice à sa manière. Parfois elle m'a semblé mal servie, comme lors d'un conseil qui avait exclus un élève "pour l'exemple" et dont j'étais sorti extrêmement mal à l'aise. Souvent elle aboutit à l'exclusion définitive d'un élève qui n'a pas sa place dans le système dont il refuse absolument d'accepter toutes règles. Autant je respecte l'anarchie en tant qu'idée autant les sociopathes qui abusent du système et rendent impossible la vie de classe des autres élèves m'insupporte. Et puis il y a les cas, rares, comme celui d'hier, qui se retrouvent devant cet étrange attelage mi-tribunal, mi-peloton d'exécution, non sans comprendre pourquoi mais sans y croire vraiment tellement sa trajectoire et ses motifs n'ont rien à voir avec les électrons libres habituels. Sans rentrer dans des détails que, devoir de réserve, je ne peux révéler, je dirais simplement que, pour des raisons personnelles, cet élève avait progressivement et irréversiblement saboté toutes ses chances de réussite à l'examen. Patiemment, certains membres du conseil et moi avons réussi à l'amener à laisser tomber ses premières lignes défensives pour laisser entrevoir les véritables raisons de son comportement. Ce faisant le premier tour de vote a conclu au non-renvoi de l'élève. Il pourra finir l'année et éventuellement redoubler à condition de, ce coup-ci, être irréprochable. Je suis donc sorti sous le soleil déclinant, rasséréné d'avoir, en toute modestie, contribué au "sauvetage" de cet élève. C'est si rare comme sentiment...

jeudi 22 avril 2010

laputa

LAPUTA, le Château dans le ciel de Miyazaki Hayao que diffuse Arte ce soir est un film de plus, magnifique et allègre qui rend hommage à l'amour de son auteur pour l'aviation, mais aussi au ROI ET L'OISEAU de Paul Grimaut. 

ps : je dédie ce billet à Audrey dont c'est aujourd'hui l'anniversaire : auguri !

































mercredi 21 avril 2010

sudden impact

"Nobody, I mean nobody puts ketchup on a hot dog."









SUDDEN IMPACT [Le Retour de l'Inspecteur Harry, 1984] est l'avant-dernier film de la saga Callahan débutée en 1971 ; c'est aussi le seul des cinq films réalisés par Clint Eastwood lui-même (après THE ENFORCER par James Fargo en 1976 et THE DEAD POOL par Buddy Van Horn en 1988).











Le film, écrit par Joseph Stinson qui écrivit aussi deux autres films sur mesure pour Eastwood (CITY HEAT de Richard Benjamin, 1984 et  HEARTBREAK RIDGE de et avec Eastwood en 1986) met surtout en scène un meurtrier qui n'est pas un criminel ordinaire puisque c'est une femme qui à l'instar de la veuve de Truffaut (LA MARIÉE ÉTAIT EN NOIR, 1968) cherche à se venger de la bande qui l'a violée, avec sa soeur, dix ans auparavant. Cette femme, c'est Sondra Locke qui partageait l'existence d'Eastwood depuis plus de dix ans déjà.

mardi 20 avril 2010

being human



Un extrait emblématique de la saison 2 de Being Human, l'excellentissime pendant britannique à Buffy the vampire slayer, enfin une version dans laquelle le f-word n'est pas bippé ou remplacé par un succédané. Un must que je conseille à tous les téléphages avertis, tous ceux que la saga TWILIGHT désole, et tous les déçus des dernières séries vampiriques étatsuniennes comme True Blood.

dimanche 18 avril 2010

zombieland

Quelques règles de survie dans ZOMBIELAND...






Toujours penser à s'échauffer...






Toujours vérifier le siège arrière...







Toujours voyager léger...






Toujours attacher sa ceinture de sécurité...






Toujours passer la seconde couche...






Toujours garder la forme...







ZOMBIELAND est une comédie horrifique hilarante dans la lignée de SHAUN OF THE DEAD, écrite par deux échappés de la télévision, Rhett Reese et Paul Wernick, et réalisé par un autre échappé, Ruben Fleischer.
Il met en scène quatre personnages qui essaient de survivre dans le pays qui, peu de temps avant (quelques semaines ? mois ?) encore était les Etats-Unis mais qui appartient désormais aux zombies.
Signe de la déliquescence de la société et de ses codes, ils portent tous des pseudonymes de villes : Colombus (Jesse Eisenberg), Tallahassee (Woody Harrelson), Wichita (Emma Stone) et Little Rock (Abigail Breslin).
C'est donc un road-movie qui s'achève (?) à Los Angeles, et qui est ponctué par les incrustations désopilantes des "règles" de Colombus pour survivre dans ce monde hostile. On retiendra en particulier le "double tap" que je traduis par seconde couche et que tout amateur de films d'horreur a toujours désiré : enfin un personnage qui a compris qu'il valait mieux s'assurer que l'adversaire était bien mort plutôt que de se barrer trop vite !

samedi 17 avril 2010

petits riens toulousains...

"Chaque matin, avant de partir au travail, le bouvier astiquait soigneusement ses bottes d'officier et son saxophone. On pouvait ensuite l'entendre jouer dans les forêts des alentours du lac de l'Ogre, assis sur une souche dans le clair matin d'été ; les boeufs se rassemblaient pour écouter les mélancoliques accents slaves de sa musique. Méfiants, les ours et les loups se tenaient à distance du virtuose et laissaient le troupeau en paix. Les bêtes sauvages n'aiment pas le blues."

Arto Paasilinna, Le cantique de l'apocalypse joyeuse,

1992, traduction de Anne Colin du Terrail

prendre en photo ma soeur ; découvrir un film avec mon neveu (ou ma nièce !) qui s'endort dans mes bras ; lire en en préparant puis en buvant mon premier café ;  aller manger japonais avant (ou après) d'aller au cinéma ; prendre le métro alors que rien ne presse ; râler de ne pouvoir prendre en photo cette voiture dans laquelle le tableau de bord est rempli de personnages de Kinder surprise ; marcher la tête en l'air ; écrire et envoyer des cartes postales à mes amis ; aller au marché St Aubin et lire La Dépêche du Midi en buvant un café (en fait, une première !) ; assister au baptême de mon neveu (là encore...) ; prendre l'apéro et débattre de choses futiles ; participer à une réunion de famille qui ne dégénère pas ; rire, dès que possible, rire encore ; parler aux enfants et m'amuser avec les chats (et inversement) ; essayer, sans succès, de consacrer autant de temps aux amis et à la famille...

vendredi 16 avril 2010

lectures d'avril

Durant la petite semaine d'échappée belle toulousaine que je me suis octroyé, j'ai pas mal lu. Il faut dire que j'ai eu le temps et l'opportunité, ne serait-ce que le matin, en déjeunant, alors que les amis qui m'hébergeaient dormaient encore ; ou dans la journée, sur leur terrasse ensoleillée d'où j'ai ramené un hâle du plus bel effet. 













J'ai ainsi pu terminer, avec une délectation consommée, Le cantique de l'apocalypse joyeuse du finlandais Arto Paasilinna qui s'est révélé être une utopie picaresque bien plus passionnante  que l'apparente pochade qui m'avait attiré en premier lieu. C'est vraiment un petit bouquin que je conseille à tout le monde ; moi, ça m'a carrément donné envie d'aller en Finlande !













J'ai aussi lu, en quelques matins, entre deux cafés et deux carresses à la gente féline qui ne comprenait rien à mes éclats de rire, le Petit cours d'autodéfense intellectuelle du canadien Norman Baillargeon que j'ai découvert dans Là-bas si j'y suis et qui a tenu toutes ses promesses, et d'autres encore ; c'est un vademecum indispensable, une boussole morale que tout honnête personne se doit d'avoir. J'dis ça, j'dis rien, vous êtes grands...













J'ai lu les 4 premiers tomes de La Brigade Chimérique, publiée par l'Atalante, un de mes éditeurs favoris, écrite par deux auteurs de SF français respectables qui ont accouché d'une série steampunk truffée de références et réellement exictante et mise en images dans un style qui rend hommage à Mignolia. C'est un must du genre.












J'ai aussi trouvé le premier volume du Kick-Ass de Millar et Romita Jr que je voulais lire avant d'aller voir la version cinématographique. C'est trash comme du Millar, c'est-à-dire déconseillé aux enfants et à ceux qui n'aiment pas Tarantino, et c'est un bonheur de comic book. Je pèse mes mots car je suis un grand fan du travail de Romita Jr, surtout depuis son boulot sur Daredevil. 
Enfin, j'ai découvert Les cahiers d'Adèle, une revue littéraire toulousaine qui en est à son n° cinq et qui publie une nouvelle de Patrick Portet. C'était mon hôte pendant mon séjour toulousain et c'est un vieil ami, au sens que nous nous connaissons depuis des lustres. Sa nouvelle est un modèle de texte autobiographique pervers.


vendredi 9 avril 2010

per dado !

Je descends à Toulouse pour quelques jours histoire de fêter avec Mariechat, mia sorella preferita, nos anniversaires respectifs, mais surtout parce que dimanche, c'est le baptême de Dado aka Martin, mon neveu préféré !
Je vais aussi en profiter pour voir des amis, plus que d'habitude, et de cela aussi j'ai hâte. Rendez-vous en fin de semaine prochaine.














Le numéro printanier de XXI est sorti et il est toujours aussi surprenant et beau.

jeudi 8 avril 2010

mon voisin totoro

Ecrit et réalisé par Miyazaki Hayao en 1988 MON VOISIN TOTORO qu'Arte diffuse ce soir est tout simplement le plus beau film d'animation de tous les temps et l'un de mes films favoris dont je ne me lasse jamais.  C'est ce qui se rapproche le plus de l'idée que je me fais du bonheur. J'ai en son temps beaucoup attendu avant de le découvrir en salle (à l'Utopia de Toulouse) dans une salle remplie d'enfants extatiques, puis en vhs avec mes cousins tarnais avant de pouvoir mettre la main sur le dvd. C'est ce film, surtout, qui m'a rendu accro à la musique de Joe Hisaishi, c'est pour ça que je vous en donne un échantillon...




































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ps : je me devais de citer aussi le nom de Takagi Hitoshi, le comédien qui fait la voix de Totoro qui est, avec Peter Mayhew dans le rôle de Chewbacca, l'une de celles qui me file la patate en deux secondes...
pps : le film sera suivi d'un docu sur Miyazaki et d'une spéciale Kitano de Tracks : sugoï !