jeudi 30 avril 2009

David Wingrove...

En 2002, les éditions Florent Massot publiaient Chung Kuo de David Wingrove, premier tome d'une saga de science-fiction prometteuse écrite en 1999. Le livre m'emballa aussitôt par son ampleur romanesque, son souci des personnages et sa sinitude assumée. Et puis, patatras, plus rien. Pas de tome 2 pour cause de disparition de l'éditeur dans une faille spatio-temporelle. Commença alors une longue période de doutes (le lire en anglais pour savoir la suite ?) et de renoncements (pas le temps, pas les nerfs) qui s'acheva l'an passé lorsque, presque par hasard, je tombais sur La roue brisée, deuxième volume de la saga, publié par l'Atalante. Ainsi, un de mes éditeurs favoris de SF reprenait le flambeau dans une édition classieuse et se faisait fort de poursuivre jusqu'au bout. J'ai profité de mon séjour toulousain pour me dégotter le troisième tome, La montagne blanche qui, depuis, repose au pied de mon lit. Je vais encore attendre, délicieusement attendre...

Sapien, Abraham Sapien...

J'ai capturé cette image de Abraham Sapien à partir de mon dvd de HELLBOY- LES LÉGIONS D'OR MAUDITES de Guillermo del Toro.
C'est l'un de mes personnages préférés (même si je les aime tous).
Je suis un grand fan de del Toro et j'ai déjà hâte de revoir le film avec son commentaire !
Mike Mignola est vraiment un artiste génial, j'dis ça juste en passant...

mercredi 29 avril 2009

je vais bien, ne t'en fais pas...

J'ai vu hier soir , sur les conseils de mia sorella Mariechat, JE VAIS BIEN, NE T'EN FAIS PAS, le film de Philippe Lioret. Et depuis, magré les timides éclaircies, et comme en écho à cette hasardeuse météo que nous subissons plus ou moins stoïquement selon que l'on est au-dessus ou non de la Loire, ce film ne me lâche plus.
J'y vois au moins deux raisons : le trouble évident que je ressens à chaque fois que je vois Mélanie Laurent découverte en décembre dernier, sur mon lit d'hôpital, dans LA CHAMBRE DES MORTS d'Alfred Lot où elle était d'une fragilité et d'une force inouïes ; mais aussi le charme, en particulier sa voix, de Julien Boisselier que, je crois, j'avais quant à lui découvert dans l'adaptation télévisée de Des fleurs pour Algernon de Keyes.