Hier après-midi j'ai profité de la douceur de l'air pour aller lire sous les frondaisons des platanes de la rue des soeurs Lecoq. J'ai toujours aimé ces arbres – enfin pas tant ceux-là que l'espèce elle-même. Je me rappelle comment, enfant, je m'amusais à déranger les fourmis en détachant les plaques brunes de l'écorce qui craquaient délicieusement entre mes doigts.
Lorsque j'ai été aux Abbattoirs de Toulouse, le centre d'art contemporain, avec ma nièce et mon neveu nous avons dû attendre l'ouverture en faisant les cent pas devant la grille. Il y avait des platanes et je leur ai montré comment je faisais, pour la plus grande joie de Martin.
Un soir, alors que je pensais aller au cinéma avec un ami, nous nous sommes retrouvés, Antonio et moi, sur une terrasse ombragée de platanes . Nous avons parlé de tout et de rien en sirotant des Afligen. Je ne sais pas comment mais à un moment donné nous avons réalisé que des enfants s'amusaient à jeter sur le sol des éléments de Légo et de Playmobil d'une fenêtre donnant sur la terrasse. Un couple avait commencé à récupérer quelques éléments sans aucun rapport entre eux.
Ça était le moment le plus insolite de mon séjour toulousain avec ce matin où, alors que j'étais dans la cour de l'appartement d'amis de ma soeur chez qui j'avais emmené Martin à attendre le café que mon hôtesse me préparait, j'ai réalisé que la voix éraillée que j'entendais chanter était en train de massacrer a cappella le Papa Don't Preach de Madonna...
Lorsque j'ai été aux Abbattoirs de Toulouse, le centre d'art contemporain, avec ma nièce et mon neveu nous avons dû attendre l'ouverture en faisant les cent pas devant la grille. Il y avait des platanes et je leur ai montré comment je faisais, pour la plus grande joie de Martin.
Un soir, alors que je pensais aller au cinéma avec un ami, nous nous sommes retrouvés, Antonio et moi, sur une terrasse ombragée de platanes . Nous avons parlé de tout et de rien en sirotant des Afligen. Je ne sais pas comment mais à un moment donné nous avons réalisé que des enfants s'amusaient à jeter sur le sol des éléments de Légo et de Playmobil d'une fenêtre donnant sur la terrasse. Un couple avait commencé à récupérer quelques éléments sans aucun rapport entre eux.
Ça était le moment le plus insolite de mon séjour toulousain avec ce matin où, alors que j'étais dans la cour de l'appartement d'amis de ma soeur chez qui j'avais emmené Martin à attendre le café que mon hôtesse me préparait, j'ai réalisé que la voix éraillée que j'entendais chanter était en train de massacrer a cappella le Papa Don't Preach de Madonna...
rue des soeurs lecoq tout un programme.... vous ne m'aviez pas raconté l'anecdote des légos!!!!
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