Je commence à y voir plus clair dans les raisons qui me font terriblement aimer Minuit, le soir.
Primo, ce doit être la seule série doublée que je supporte de regarder à la tv. Que france 2 ait jugé nécessaire de donner une voix française aux personnages québecquois en dit long sur la politique de la chaîne en matière de séries. Mais bon, c'est bien fait et ça ne gâte rien.
Secundo, dans l'épisode trois, on découvre que Marc Forest est un type coléreux qui soigne ses angoisses en les discutant avec un psy de Budapest qu'il consulte aux toilettes ! rien que ça, cette trouvaille-là, en dit beaucoup sur l'approche des personnages de Pierre-Yves Bernard et Claude Legault.
Secundo bis, où l'on découvre aussi que Forest a une technique impeccable pour faire repartir de son lit les femmes avec lesquelles il vient de s'envoyer en l'air. Il met en route un enregistrement de moteur diesel en expliquant qu'après avoir travaillé sept ans dans la marine marchande canadienne il en a besoin pour s'endormir : c'est radical ! Et après il peut s'occuper de Laryngite, le chaton qu'il a nommé au hasard du dictionnaire...
Tertio, la série vaut aussi pour les moments où il ne se passe rien, où la caméra semble juste filmer la ville, avec la musique de Nicolas Miranda, mais où on découvre en fait que l'humour des créateurs se niche dans le décor. Ainsi, pêle-mêle et de mémoire : un panneau annonçant un parc inachevé car le conseiller municipal a détourné l'argent, un autre annonçant la priorité aux piétons et un autre en dessous disant que "c't'est une joke" !
Primo, ce doit être la seule série doublée que je supporte de regarder à la tv. Que france 2 ait jugé nécessaire de donner une voix française aux personnages québecquois en dit long sur la politique de la chaîne en matière de séries. Mais bon, c'est bien fait et ça ne gâte rien.
Secundo, dans l'épisode trois, on découvre que Marc Forest est un type coléreux qui soigne ses angoisses en les discutant avec un psy de Budapest qu'il consulte aux toilettes ! rien que ça, cette trouvaille-là, en dit beaucoup sur l'approche des personnages de Pierre-Yves Bernard et Claude Legault.
Secundo bis, où l'on découvre aussi que Forest a une technique impeccable pour faire repartir de son lit les femmes avec lesquelles il vient de s'envoyer en l'air. Il met en route un enregistrement de moteur diesel en expliquant qu'après avoir travaillé sept ans dans la marine marchande canadienne il en a besoin pour s'endormir : c'est radical ! Et après il peut s'occuper de Laryngite, le chaton qu'il a nommé au hasard du dictionnaire...
Tertio, la série vaut aussi pour les moments où il ne se passe rien, où la caméra semble juste filmer la ville, avec la musique de Nicolas Miranda, mais où on découvre en fait que l'humour des créateurs se niche dans le décor. Ainsi, pêle-mêle et de mémoire : un panneau annonçant un parc inachevé car le conseiller municipal a détourné l'argent, un autre annonçant la priorité aux piétons et un autre en dessous disant que "c't'est une joke" !
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