Danny Boyle réalise 28 DAYS LATER en 2001 ; dans le commentaire qu'il fait avec son auteur, Alex Garland, il évoque à plusieurs reprises le 9/11, à la fois pour parler de scènes depuis impossibles à tourner ou le fait qu'ils tournaient le film alors que les événements se déroulaient. La scène où le personnage de Cillian Murphy découvre les annonces et les photos des réfugiés dans Londres rappelle du coup, par anticipation, les images qui fleuriront après à New York (et que l'on reverra dans Battlestar Galactica à plusieurs reprises).
Revoir ce film m'a encore permis de vérifier qu'il fonctionnait, au moins sur moi, avec la même efficacité, à tel point que j'ai préféré le regarder avec le commentaire histoire d'éloigner un peu l'angoisse. Ça m'a rappelé comment, enfant, je me cachais derrière les yeux derrière mes mains lorsque j'avais peur en regardant la télévision, tout en ne pouvant m'empêcher d'entrebailler les doigts malgré tout.
Ça m'a aussi permis de vérifier que Chris Eccleston est un sacré bon acteur mal employé et que décidément, qu'on les appelle contaminés, infestés ou zombies, ces créatures ne-devraient-décidément-pas-avoir-le-droit-de-courir !
Revoir ce film m'a encore permis de vérifier qu'il fonctionnait, au moins sur moi, avec la même efficacité, à tel point que j'ai préféré le regarder avec le commentaire histoire d'éloigner un peu l'angoisse. Ça m'a rappelé comment, enfant, je me cachais derrière les yeux derrière mes mains lorsque j'avais peur en regardant la télévision, tout en ne pouvant m'empêcher d'entrebailler les doigts malgré tout.
Ça m'a aussi permis de vérifier que Chris Eccleston est un sacré bon acteur mal employé et que décidément, qu'on les appelle contaminés, infestés ou zombies, ces créatures ne-devraient-décidément-pas-avoir-le-droit-de-courir !
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