jeudi 22 juillet 2010

è dolce far niente

Une fois n'est pas coutume, je ne suis pas tombé de mon lit ce matin, preuve que, après trois semaines, le sevrage de cours commence à faire effet et que j'ai peut-être cassé le rythme.
Je suis allé au café, via ma librairie favorite, et j'y ai bu mon premier café en lisant Libération où je me suis régalé d'un article sur les gars du CERN qui cherchent toujours le boson de Higgs, mais aussi sur un projet, qui ne verra jamais le jour, de réserve naturelle en Equateur, dans un endroit qui recèle à la fois d'énormes réserves de pétrole et la plus grande biodiversité de la planète.
Puis j'ai été dans une autre librairie où j'ai acheté un carnet et Skin de Mo Hayder (Pocket n°14257), parce que c'est encore une aventure de Jack Caffery et alors que Rituel (Pocket n°11886) attend encore sur ma table de nuit... Je suis retourné au café dont la terrasse était toujours aussi calme en raison de la météo. J'y suis resté encore une bonne heure à écrire et commencer le Hayder qui, comme d'hab', a l'air banalement terrifiant, ce qui pomet.
Je suis enfin rentré pour préparer une salade composée pour le déjeuner en espérant que le soleil se décide à pointer son blaze.

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