Alors que le numéro juillet-août de Causette vient tout juste de sortir pour vous empêcher de bronzer idiot quel que soit votre sexe, c'est à la lecture de Libération que je me suis attaqué ce matin quand bien même la maigreur anoréxique de son contenu, y compris en été, me désole à chaque fois davantage.
Comme chaque année (ou presque ?) le quotidien publie en feuilleton une bande-dessinée. Cette année c'est La position du tireur couché de Manchette mis en images par Tardi. C'est non seulement extra mais ça confirme une de mes théories perso selon laquelle la presse quotidienne aurait énormément à gagner à s'inspirer de ce que la même faisait au XIXe siècle lorsqu'elle publiait des auteurs comme Dumas en feuilleton. Je ne dis pas nécessairement une bande-dessinée (quoique...), mais un roman, ou de courtes nouvelles, y aurait de quoi faire pour fidéliser un lectorat rendu volatil par la faute d'internet.
Comme chaque année (ou presque ?) le quotidien publie en feuilleton une bande-dessinée. Cette année c'est La position du tireur couché de Manchette mis en images par Tardi. C'est non seulement extra mais ça confirme une de mes théories perso selon laquelle la presse quotidienne aurait énormément à gagner à s'inspirer de ce que la même faisait au XIXe siècle lorsqu'elle publiait des auteurs comme Dumas en feuilleton. Je ne dis pas nécessairement une bande-dessinée (quoique...), mais un roman, ou de courtes nouvelles, y aurait de quoi faire pour fidéliser un lectorat rendu volatil par la faute d'internet.
"Quand Nora entra avec sa clef, il avait fini depuis longtemps ses rangements et lisait un roman de science-fiction."
Petite transition pour annoncer la nouvelle de l'été : un de mes livres préférés, La voie du couteau, le premier tome de La Théorie du chaos en marche de Patrick Ness vient enfin de sortir en poche. Alors même si je trouve l'édition brochée plus belle, ruez-vous y dessus, offrez-le autour de vous, allez-y vite !
Enfin, ça n'a rien à voir mais je trouve l'information étonnante, ce soir aura lieu, à Montpellier, la représentation de Les hauts de Hurlevent, opéra composé en 1951 par Bernard Herrmann, le grand faiseur de musique de films.
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