GUYS AND DOLLS est une comédie musicale écrite (avec Ben Hecht) et réalisé par Joseph L. Mankiewicz. C'est le deuxième film en couleurs de l'auteur de THE BAREFOOT CONTESSA qui retrouve Marlon Brando qu'il avait dirigé dans JULIUS CAESAR et qu'il fait ici danser et chanter !
Le film est, je l'admets, inégal, tant par la qualité de certains morceaux que par l'intérêt divers des personnages. Ainsi, même s'il est convaincant, Frank Sinatra ne m'a pas ému. Incroyable de se dire qu'il était dans SUDDENLY l'année précédente et qu'il sera le héros de THE MAN WITH THE GOLDEN ARM pour Preminger l'année suivante.
La bonne surprise, en revanche, c'est le couple Brando-Simmons qui est épatant, que ce soit dans les scènes de comédie que dans les scènes romantiques à La Havane. La séquence de la taverne qui se termine en bagarre générale est inattendue et si on m'avait dit que je verrai Jean Simmons faire le coup de poing !
Non, décidément, ce film confirme que Marlon Brando était un comédien capable d'exceller dans tous les registres et qu'il en allait de même de Jean Simmons qui le retrouvera en 1954 dans DESIRÉE.
ps : quant au titre français, moralisateur plus qu'explicite, il dénature la simplicité du titre original, mais c'est aussi un signe des temps...
Le film est, je l'admets, inégal, tant par la qualité de certains morceaux que par l'intérêt divers des personnages. Ainsi, même s'il est convaincant, Frank Sinatra ne m'a pas ému. Incroyable de se dire qu'il était dans SUDDENLY l'année précédente et qu'il sera le héros de THE MAN WITH THE GOLDEN ARM pour Preminger l'année suivante.
La bonne surprise, en revanche, c'est le couple Brando-Simmons qui est épatant, que ce soit dans les scènes de comédie que dans les scènes romantiques à La Havane. La séquence de la taverne qui se termine en bagarre générale est inattendue et si on m'avait dit que je verrai Jean Simmons faire le coup de poing !
Non, décidément, ce film confirme que Marlon Brando était un comédien capable d'exceller dans tous les registres et qu'il en allait de même de Jean Simmons qui le retrouvera en 1954 dans DESIRÉE.
ps : quant au titre français, moralisateur plus qu'explicite, il dénature la simplicité du titre original, mais c'est aussi un signe des temps...
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