La Maison du Patrimoine, à droite (volets), l'Atelier Cantoisel et au centre,
la toile d'araignée !
Hier après-midi j'ai accompagné ma classe de première bac pro mécanique-carrossier, ainsi que deux autres classes et mes deux collègues d'arts appliqués qui m'avaient invité à participer à une baguenaude culturelle dans Joigny. Il faut dire que dans le cadre des Journées du Patrimoine (encore ce week-end), la ville a fait appel à des artistes, installés à Joigny ou pas, pour mettre en place des installations temporaires dans des lieux patrimoniaux de la ville. Commencée sous le même ciel morne et laiteux qui nous poissait et rappelait que jeudi il pleuvait, l'après-midi s'est peu à peu ensoleillée et s'est terminé sous un agréable soleil. La balade était chouette, revigorante (ça monte, ça descend, ça serpente, ça ruelle) même si nos élèves n'ont pas l'habitude de crapahuter de la sorte – sans parler de considérer des installations artistiques. Certains néanmoins ont semblé intéressés (j'en saurais plus quand je reverrai ces élèves), en particulier d'avoir pu écouter, sinon interroger les artistes concernés qui, et c'était la bonne idée, étaient disponibles pour expliquer comment et pourquoi ils avaient conçu leur installation. Surprise de découvrir, par exemple qu'une peintre autodidacte (charmante, ça ne gâte rien) a installé son atelier dans la maison que louait une amie il y a quelques années et où, en son temps, j'ai passé de très bonnes soirées. Plus déconcertant a été d'essayer d'expliquer à un de mes élèves la bande rose qu'elle a peinte sur sa façade et qui contraste avec les colombages et le crépis fatigué...
la toile d'araignée !
Hier après-midi j'ai accompagné ma classe de première bac pro mécanique-carrossier, ainsi que deux autres classes et mes deux collègues d'arts appliqués qui m'avaient invité à participer à une baguenaude culturelle dans Joigny. Il faut dire que dans le cadre des Journées du Patrimoine (encore ce week-end), la ville a fait appel à des artistes, installés à Joigny ou pas, pour mettre en place des installations temporaires dans des lieux patrimoniaux de la ville. Commencée sous le même ciel morne et laiteux qui nous poissait et rappelait que jeudi il pleuvait, l'après-midi s'est peu à peu ensoleillée et s'est terminé sous un agréable soleil. La balade était chouette, revigorante (ça monte, ça descend, ça serpente, ça ruelle) même si nos élèves n'ont pas l'habitude de crapahuter de la sorte – sans parler de considérer des installations artistiques. Certains néanmoins ont semblé intéressés (j'en saurais plus quand je reverrai ces élèves), en particulier d'avoir pu écouter, sinon interroger les artistes concernés qui, et c'était la bonne idée, étaient disponibles pour expliquer comment et pourquoi ils avaient conçu leur installation. Surprise de découvrir, par exemple qu'une peintre autodidacte (charmante, ça ne gâte rien) a installé son atelier dans la maison que louait une amie il y a quelques années et où, en son temps, j'ai passé de très bonnes soirées. Plus déconcertant a été d'essayer d'expliquer à un de mes élèves la bande rose qu'elle a peinte sur sa façade et qui contraste avec les colombages et le crépis fatigué...
Ci-dessous, une brève vidéo de la dernière installation qu'on a vue installée dans la cour de l'Hôtel de ville.
Super!!!
RépondreSupprimerT'as fait d'autres photos? L'atelier Cantoisel, dommage que je n'y sois pas allée plus souvent car ça vaut le détour!
L'artiste en question, c'est pas Alexandra Prinsac?
Biz bizz
Odré oui, c'est elle et je mets des photos demain... et d'ici là je t'en envoie quelques-unes par email !
RépondreSupprimersuper jolie cette photo!!!!
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