Hier matin, je me suis levé aussi tôt que d'habitude pour aller aussi vite me réchauffer sous le jet brûlant de la douche avant de prendre mon petit-dèj. Puis, après avoir considéré le tapis neigeux et me souvenant que les transports scolaires avaient été suspendus jusqu'à samedi inclus, j'ai appelé mon lycée pour dire que je ne venais pas. A quoi bon, en effet, prendre le risque d'un tête-à-queue durant le trajet en voiture pour au mieux un à deux élèves, Joviniens obligés d'y aller ou internes esseulés ? Certes, je vous entends ricaner, j'aurais pu y aller à pieds mais ça m'autait encore plus agacé d'y aller pour rien. Et puis c'était la dernière journée. Allez zou, oubliée.
Je suis néanmoins sorti vers 8h30 pour aller voir de quoi il en retournait. Et bien, assurément, je n'ai pas été déçu du voyage ! La ville ressemblait à une station de moyenne montagne qui n'aurait pas l'habitude de voir tomber autant de neige. A vrai dire, depuis onze ans que je vis ici, c'est la première fois que je marche, dans ma cour, dans une neige aussi profonde !
Le ciel était blanc cassé, et l'absence du soleil annonçait la reprise des averses de neige. J'ai néanmoins été jusqu'après le pont pour acheter Le Monde diplomatique, le seul journal disponible (pas de quotidiens) que j'ai été feuilleter en buvant un café.
de bien belles photos!!!!
RépondreSupprimerJe ne vous remercierai jamais assez pour ce cadeau-là !
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