samedi 24 septembre 2011

the limits of control (resuite)


L'étrange et mystérieux gri-gri que manipule Alex Descas au début du film , occasion d'admirer ses mains au passage...


Le rituel martial de l'homme sans nom qui renvoit aux katas du Ghost Dog...

Homme de rituels suivant des consignes cryptiques, l'homme sans nom passe son temps à errer en apparence entre deux lieux, et à guetter les éventuels signes et messages, comme cette photo (carte postale ?) trouvée par terre dans la rue...


Film pêle-mêle dans lequel Jarmusch semble avoir mis tout ce qu'il aime, que ce soit des actrices et des acteurs, des musiciens, des peintres, mais aussi des lieux ; il y a une fascination pour l'architecture qui ressort dans l'apparition tardive de ce plan qui est comme une carte au trésor...


Alors là, j'hésite, entre surréalisme à la Dali ou gag évoquant Warhol, mais le fait est que j'adore...





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