Tout d'abord, THE BRAVE ONE (A vif en vf, allez comprendre) de Neil Jordan, avec la toujours excellente Jodie Foster et l'épatant Terrence Howard (mais j'y ai aussi découvert une actrice qu'il me tarde de revoir, Dana Eskelson, celle qui fait le portrait-robot).
Ecrit par un père et son fils, Roderick et Bruce Taylor, qui travaillent habituellement pour la téloche, le film est une variation (et non un énième et paresseux remake) sur le thème du vigilante, ce terme difficile à traduire autrement que par justicier, dans le sens de celui qui décide de suppléer violemment à la Justice et passe à l'acte. Ce thème a été rendu familier au grand public dans les années 70 par le personnage joué par Charles Bronson dans les films de Michael Winner (mais, les armes en moins, c'était déjà le cas du personnage de Batman ou même dans THE WATCHMEN). Ici c'est une femme de radio (la voix, en off ou lors des émissions est primordiale dans le film) dont le fiancé (Naveen Andrews) est battu à mort un soir par trois jeunes malfrats désoeuvrés. Elle finit par s'acheter une arme pour se rassurer et... je ne vous raconte pas la suite sinon pour vous dire qu'elle va croiser, sympathiser (est-ce seulement de l'amitié qui va les lier ?) avec un detective joué par T. Howard. C'est aussi un film sur la ville de New-York, filmé à travers le regard de Foster.
L'autre c'est SERAPHIM FALLS écrit (avec Abby Everett Jaques) et réalisé par David Von Acken, un gars qui vient de la téloche. C'est un western, âpre et haletant, qui raconte la traque (qui ne s'explicite que vers la toute fin du film, et c'est tant mieux) menée par Liam Neeson (avec une bande de chasseurs de primes dont le trop rare Michael Wincott) à la poursuite de Pierce Brosnan. En chemin ils vont rencontrer quelques personnages curieux dont un Indien interprété par Wes Studi que j'adore. C'est donc l'histoire de deux comédiens irlandais interprétant des archétypes étatsuniens et ce de manière crédible et réjouissante. L'ambiguïté de l'histoire (le poursuivi est-il une ordure ou pas ? et son poursuivant ?) est très bien servie par une photographie splendide de décors asez grandioses. Un classique, d'ores et déjà...
Ecrit par un père et son fils, Roderick et Bruce Taylor, qui travaillent habituellement pour la téloche, le film est une variation (et non un énième et paresseux remake) sur le thème du vigilante, ce terme difficile à traduire autrement que par justicier, dans le sens de celui qui décide de suppléer violemment à la Justice et passe à l'acte. Ce thème a été rendu familier au grand public dans les années 70 par le personnage joué par Charles Bronson dans les films de Michael Winner (mais, les armes en moins, c'était déjà le cas du personnage de Batman ou même dans THE WATCHMEN). Ici c'est une femme de radio (la voix, en off ou lors des émissions est primordiale dans le film) dont le fiancé (Naveen Andrews) est battu à mort un soir par trois jeunes malfrats désoeuvrés. Elle finit par s'acheter une arme pour se rassurer et... je ne vous raconte pas la suite sinon pour vous dire qu'elle va croiser, sympathiser (est-ce seulement de l'amitié qui va les lier ?) avec un detective joué par T. Howard. C'est aussi un film sur la ville de New-York, filmé à travers le regard de Foster.
L'autre c'est SERAPHIM FALLS écrit (avec Abby Everett Jaques) et réalisé par David Von Acken, un gars qui vient de la téloche. C'est un western, âpre et haletant, qui raconte la traque (qui ne s'explicite que vers la toute fin du film, et c'est tant mieux) menée par Liam Neeson (avec une bande de chasseurs de primes dont le trop rare Michael Wincott) à la poursuite de Pierce Brosnan. En chemin ils vont rencontrer quelques personnages curieux dont un Indien interprété par Wes Studi que j'adore. C'est donc l'histoire de deux comédiens irlandais interprétant des archétypes étatsuniens et ce de manière crédible et réjouissante. L'ambiguïté de l'histoire (le poursuivi est-il une ordure ou pas ? et son poursuivant ?) est très bien servie par une photographie splendide de décors asez grandioses. Un classique, d'ores et déjà...
* il me revient aussi que j'ai vu un épisode extra de Dollhouse (le 2.11, Getting Closer) qui en entremêlant des flashbacks comme jamais, en faisant revenir le personnage joué par Amy Acker, a repoussé davantage encore les limites wheedonesques de cette série qui évolue de mieux en mieux...
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