Il n'y a pas d'autre manière de le dire qu'ainsi : BULLITT est l'un de mes films préférés.
Je peux le revoir, comme l'autre jour, avec quasi la même fraîcheur que la première fois, m'étonnant encore de séquences entières (la poursuite à pieds dans l'hôpital, l'autopsie à la morgue...), redécouvrant des détails inattendus (le fait que le film, dans cette heureuse période, faisait aussi bien la pub de Coca et de Pepsi), me régalant toujours plus de la musique de Lalo Schifrin (que je siffle en même temps, comme pour la trilogie) et des comédiens.
Le film arrive dans la carrière de McQueen juste après deux autres de mes films préférés que sont THE SAND PEEBLES et THE THOMAS CROWN AFFAIR (écrit par Alan Trustman, un des coscénaristes de BULLITT avec Harry Kleiner).
On y voit un Robert Duvall jeune (même s'il avait déjà 37 ans !) car n'ayant pas encore tourné de grands films tels que THX 1138 en 1971, THE GODFATHER en 1972 ou surtout APOCALYPSE NOW en 1979.
On y aperçoit aussi Simon Oakland en supérieur de Bullitt, qui n'avait pas encore atteint la notoriété avec son rôle dans Baa Baa, Black Sheep (Les têtes brûlées) mais donnait déjà une couleur exotique à un capitaine de police (comme celui dans DIRTY HARRY trois ans plus tard, cf. un prochain post).
On y retrouve encore Jacqueline Bisset, la compagne de Bullitt dans le film, qui est délicieusement sensuelle, en particulier dans cette scène où elle se prépare son petit-déjeuner seulement vêtue d'une chemise d'homme tandis que McQueen enfile son holster.
Et enfin, même si j'aurais pu parler de l'impavide Don Gordon ou de la prestation glaçante de Robert Vaughn (qui retrouvait McQueen huit après avoir joué avec lui dans THE MAGNIFICENT SEVEN), je voulais m'arrêter sur un personnage de second-plan auquel je n'avais jamais vraiment prêté attention : Eddy l'informateur joué par Justin Tarr.
C'est en effet le seul vrai film qu'aura fait cet acteur qui s'était distingué dans une série télévisée martiale, The Rat Patrol. Son personnage est étonnant de flegme et de classe et c'est vraiment dommage que, pour des raisons qui m'échappent, l'on ne l'ait pas ensuite vu davantage.
Le film arrive dans la carrière de McQueen juste après deux autres de mes films préférés que sont THE SAND PEEBLES et THE THOMAS CROWN AFFAIR (écrit par Alan Trustman, un des coscénaristes de BULLITT avec Harry Kleiner).
On y voit un Robert Duvall jeune (même s'il avait déjà 37 ans !) car n'ayant pas encore tourné de grands films tels que THX 1138 en 1971, THE GODFATHER en 1972 ou surtout APOCALYPSE NOW en 1979.
On y aperçoit aussi Simon Oakland en supérieur de Bullitt, qui n'avait pas encore atteint la notoriété avec son rôle dans Baa Baa, Black Sheep (Les têtes brûlées) mais donnait déjà une couleur exotique à un capitaine de police (comme celui dans DIRTY HARRY trois ans plus tard, cf. un prochain post).
On y retrouve encore Jacqueline Bisset, la compagne de Bullitt dans le film, qui est délicieusement sensuelle, en particulier dans cette scène où elle se prépare son petit-déjeuner seulement vêtue d'une chemise d'homme tandis que McQueen enfile son holster.
Et enfin, même si j'aurais pu parler de l'impavide Don Gordon ou de la prestation glaçante de Robert Vaughn (qui retrouvait McQueen huit après avoir joué avec lui dans THE MAGNIFICENT SEVEN), je voulais m'arrêter sur un personnage de second-plan auquel je n'avais jamais vraiment prêté attention : Eddy l'informateur joué par Justin Tarr.
C'est en effet le seul vrai film qu'aura fait cet acteur qui s'était distingué dans une série télévisée martiale, The Rat Patrol. Son personnage est étonnant de flegme et de classe et c'est vraiment dommage que, pour des raisons qui m'échappent, l'on ne l'ait pas ensuite vu davantage.
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