mercredi 10 mars 2010

comme un mardi de pas-encore-printemps

"La semaine précédente, le médecin du centre de santé de Sotkamo était passé prendre la tension du malade. L'appareil de mesure avait explosé. C'était mauvais signe."
Arto Paasilinna,
Le cantique de l'apocalypse joyeuse







Hier matin, je me suis rendu chez mon praticien préféré pour ma visite de contrôle bimensuelle. Près du parking, couché dans l'herbe, une victime des vents violents de dimanche. Parce que si l'on n'a plus de neige depuis le 20 février (hormis trois flocons ridicules samedi dernier), on se pêle toujours les dents avec un froid de gueux sur fond de soleil bleu et de vents mi-acouphènes mi-bergmaniens.











L'après-midi, après une réunion au lycée, je suis allé voir ma diététicienne qui ne désespère pas de me voir perdre plus vite du poids et qui me sidère agréablement par son optimisme. En sortant, je suis passé à la pharmacie puis à la librairie où j'ai pris le numéro printanier de Causette et le dvd du TWO LOVERS de James Gray que j'avais raté lors de sa sortie en salle.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire