"I haven't stop laughing for three days..."
LOVE AND BULLETS (Avec les compliments de Charlie) est réalisé en 1979 par Stuart Rosenberg (et aussi John Huston quoique non crédité au générique) sur un scénario de Wendell Mayes (l'auteur de films aussi divers que ANATOMY OF A MURDER, THE REVENGERS, ou THE POSEIDON ADVENTURE ; mais aussi celui de DEATH WISH, le film qui ouvrit en 1974 la franchise "vigilante" de Bronson) et John Melson.
Stuart Rosenberg est le réalisateur de COOL HAND LUKE, THE DROWNING POOL mais aussi de THE AMITYVILLE HORROR.
Quoique produit par ITC et non par Paramount, le film s'ouvre sur un plan de montagne suisse (le mont Cervin) qui n'est pas sans évoquer celui qui sert de décor au logo du studio. La musique de Lalo Schifrin accompagne cette carte postale enneigée, y compris alors qu'un travelling dans le plan nous transporte en Arizona, au milieu des cactus.
On découvre assez vite Charles Bronson (Charlie Congers) au volant d'une voiture, à Phoenix. L'acteur avait alors 58 ans. Il ne tournera ensuite rien de très intéressant, hormis THE INDIAN RUNNER en 1991, le premier film de Sean Penn. Ce qui est étonnant c'est de le voir remettre en question la notion de justice expéditive face au jeune flic dont la fiancée vient de mourir, alors qu'il qu'il allait tourne la suite de DEATH WISH trois ans plus tard… Sa partenaire à l'écran, Jill Ireland (qui joue Jackie Pruit, la blonde de Bomposa), était alors son épouse (il l'avait rencontrée sur le tournage de THE GREAT ESCAPE et c'est David McCallum, son mari d'alors, qui les avait présentés !). Rod Steiger (Joe Bomposa) a commencé sa carrière au début des années 50 à la télévision ; en 1971 il est Juan Miranda dans GIU LA TESTA de Leone. Henry Silva (Farroni) est une de mes "gueules" de cinéma préférées ; sa performance digne du Kabuki dans le GHOST DOG de Jarmusch demeure anthologique. Paul Koslo (Richi le tueur) est un acteur qui a trimballé sa tronche vérolée à la télévision depuis le début des années 70. Il a cependant eu quelques rôles au cinéma (notamment dans VANISHING POINT, THE OMEGA MAN, MR. MAJESTYK).
Stuart Rosenberg est le réalisateur de COOL HAND LUKE, THE DROWNING POOL mais aussi de THE AMITYVILLE HORROR.
Quoique produit par ITC et non par Paramount, le film s'ouvre sur un plan de montagne suisse (le mont Cervin) qui n'est pas sans évoquer celui qui sert de décor au logo du studio. La musique de Lalo Schifrin accompagne cette carte postale enneigée, y compris alors qu'un travelling dans le plan nous transporte en Arizona, au milieu des cactus.
On découvre assez vite Charles Bronson (Charlie Congers) au volant d'une voiture, à Phoenix. L'acteur avait alors 58 ans. Il ne tournera ensuite rien de très intéressant, hormis THE INDIAN RUNNER en 1991, le premier film de Sean Penn. Ce qui est étonnant c'est de le voir remettre en question la notion de justice expéditive face au jeune flic dont la fiancée vient de mourir, alors qu'il qu'il allait tourne la suite de DEATH WISH trois ans plus tard… Sa partenaire à l'écran, Jill Ireland (qui joue Jackie Pruit, la blonde de Bomposa), était alors son épouse (il l'avait rencontrée sur le tournage de THE GREAT ESCAPE et c'est David McCallum, son mari d'alors, qui les avait présentés !). Rod Steiger (Joe Bomposa) a commencé sa carrière au début des années 50 à la télévision ; en 1971 il est Juan Miranda dans GIU LA TESTA de Leone. Henry Silva (Farroni) est une de mes "gueules" de cinéma préférées ; sa performance digne du Kabuki dans le GHOST DOG de Jarmusch demeure anthologique. Paul Koslo (Richi le tueur) est un acteur qui a trimballé sa tronche vérolée à la télévision depuis le début des années 70. Il a cependant eu quelques rôles au cinéma (notamment dans VANISHING POINT, THE OMEGA MAN, MR. MAJESTYK).
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