vendredi 15 juillet 2011

the expendables


THE EXPENDABLES est la huitième réalisation de Sylvester Stallone sur un scénario qu'il a coécrit avec Dave Calaham. C'est un pur produit de divertissement qui fait la synthèse de tout ce qu'on a pu voir ces dernières années avec, ça et là, quelques clins d'oeil aux glorieux prédécesseurs qu'ont été THE MAGNIFICENT SEVEN, THE DIRTY DOZEN, PREDATOR, voire DOC SAVAGE.


Le film s'ouvre sur une libération d'otages dans le golfe d'Aden et nous plonge directement dans l'action, sans se soucier d'expliquer qui est qui, pas le temps, faut que ça bouge et tant mieux.


Le véhicule de groupe préféré des garçons : le Grumman HU-16 Albatross. J'aime beaucoup l'ironie de leur couverture, une association de défense de la vie sauvage...


Un plan typique de ce que Stallone, selon moi, aurait davantage voulu faire avec plus de temps et de moyens. Une fois posée la personnalité de Christmas et son couteau, plus besoin de le montrer pour qu'on reconnaisse sa patte dans cette action très graphique, quasi frankmillerienne

Une des multiples explosions spectaculaires du film. J'aime cela pour deux raisons : a) elle conclue une séquence totalement irréelle dans laquelle Ross et Christmas refont un passage pour faire comprendre aux gars de Vilena combien leur accueil les a navrés ; b) à la fin du film, le même ponton est impeccable car c'est de là que repartent nos garçons, cherchez l'erreur !


Je crois bien que c'est la première fois que je vois un rasoir servir d'arme de jet, mais Caesar y arrive cependant dans le film. Ce qui est étonnant vu que son autre arme est assourdissante.

Une autre explosion qui me plaît, ne me demandez pas pourquoi celle-là plus qu'une autre...

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