Il m'en est arrivé une bien bonne hier matin et je ne résiste pas au plaisir de la partager avec vous. Nous étions donc mercredi, jour des enfants, des sorties ciné (STAR TREK ! vivement dimanche) et, surtout, du marché. J'y vais aussi le samedi pour me réapprovisionner en pain, fruits, légumes, fromages et barbaque. C'est l'occasion d'une baguenaude qui, tout en me mettant en appétit, me fait du bien. Donc.
Je m'étais préparé, j'avais pris mes médocs et j'étais sur le point de m'en aller lorsque je me suis rendu compte que je ne savais pas où était mon téléphone portable. Je n'ai pas paniqué mais je ne me suis pas non plus assis. Le nombre de places possibles étant limitées j'ai rapidement fait le tour de mon appart. Et puis, me réservant une ultime échappatoire (l'avoir laissé tomber dans ma voiture en rentrant du lycée) je me suis souvenu de l'adage holmésien que je cite brut de décoffrage : quand on a éliminé tous les possibles, l'impossible demeure une possibilité à envisager. Ou un truc de ce genre. Bref.
Je me suis alors demandé ce que j'avais bien pu en faire en me déloquant. Et c'est alors que je me suis souvenu de deux faits particuliers : je m'étais déshabillé et avais fichu toutes mes fringues avec d'autres dans la machine à laver pour lancer une lessive ; et je ne me souvenais pas d'avoir posé mon portable quelque part. Donc. Ah ouais, donc ! Je me baissais alors pour ouvrir le tambour de ma machine à laver au fond duquel je découvris mon portable ! Autant vous dire qu'un lavage en machine ne l'avait pas rendu plus efficient et que je commençais dérechef à m'insulter en des termes choisis.
Et puis, alors que je réfléchissais déjà à ce que cela allait me coûter, autant financièrement qu'en quolibets, je repensais à cette scène vue dans je ne sais combien de séries et de films récents. C'est ce passage où le personnage, pour échapper à la traque numérique de ses poursuivants, change la carte sim de son portable. Je me suis alors souvenu que j'avais toujours mon ancien portable et, en croisant mentalement les doigts pour que la carte sim n'ait pas trop souffert du lavage, je la plaçais dans le réceptacle ad hoc de l'autre appareil. Nerveux, je tapais mon numéro de fixe afin de vérifier qu'elle marchait bien (j'ai quand même un forfait en cours). Je laissais sonner quelques instants puis raccrochais.
Moralité : j'ai un portable que je laisse sécher, la batterie dehors, en espérant que, un de ces jours, quand je tenterai de le rallumer, il me donnera raison. Ou pas.
ps : l'image ci-dessus, à la différence de toutes les autres, n'a pas été prise par mes soins mais récupérée là venant de là. Voilà.
Je me suis alors demandé ce que j'avais bien pu en faire en me déloquant. Et c'est alors que je me suis souvenu de deux faits particuliers : je m'étais déshabillé et avais fichu toutes mes fringues avec d'autres dans la machine à laver pour lancer une lessive ; et je ne me souvenais pas d'avoir posé mon portable quelque part. Donc. Ah ouais, donc ! Je me baissais alors pour ouvrir le tambour de ma machine à laver au fond duquel je découvris mon portable ! Autant vous dire qu'un lavage en machine ne l'avait pas rendu plus efficient et que je commençais dérechef à m'insulter en des termes choisis.
Et puis, alors que je réfléchissais déjà à ce que cela allait me coûter, autant financièrement qu'en quolibets, je repensais à cette scène vue dans je ne sais combien de séries et de films récents. C'est ce passage où le personnage, pour échapper à la traque numérique de ses poursuivants, change la carte sim de son portable. Je me suis alors souvenu que j'avais toujours mon ancien portable et, en croisant mentalement les doigts pour que la carte sim n'ait pas trop souffert du lavage, je la plaçais dans le réceptacle ad hoc de l'autre appareil. Nerveux, je tapais mon numéro de fixe afin de vérifier qu'elle marchait bien (j'ai quand même un forfait en cours). Je laissais sonner quelques instants puis raccrochais.
Moralité : j'ai un portable que je laisse sécher, la batterie dehors, en espérant que, un de ces jours, quand je tenterai de le rallumer, il me donnera raison. Ou pas.
ps : l'image ci-dessus, à la différence de toutes les autres, n'a pas été prise par mes soins mais récupérée là venant de là. Voilà.
ho la loose!!!! normalement cela remarche..... baci baci
RépondreSupprimermarika > oh ça va hein :(
RépondreSupprimerj'espère que tu as raison cela dit, même si en attendant ma ligne est toujours ouverte... bon week-end prolongé !