J'ai enfin vu le JUNO de Jason Reitman qui, avec ce film, vient de rentrer immédiatement dans le club très fermé de mes films cultes au même titre que le RUSHMORE de Wes Anderson.
L'histoire ne me tentait pas pourtant des masses et je n'avais fini par lancer le dvd dans un caddie qu'après m'être régalé avec THANK YOU FOR SMOKING du même Reitman. Mais ô combien j'ai eu raison et d'attendre et de l'acheter. Ce film est un pur bonheur, un moment cinématographique empli d'une grâce et d'une beauté qui défient toute analyse. Je sais que j'ai l'air outrancièrement lyrique et emphatique mais je ne vois pas comment qualifier autrement le contentement réel qui m'a fait rire tout le long et m'a collé des larmes de joie au moment du générique. Non, de la dernière scène dont j'ai récupéré la vidéo pour vous ci-dessous.
Deux, non trois raisons se détachent néanmoins, quand bien même je vais revoir très vite le film avec son commentaire.
Primo, le scénario et les dialogues de Diablo Cody sont une tuerie d'esprit, d'humour, de justesse et de légèreté empreinte de gravité. Ça m'a du coup donné envie de voir The United States of Tara, la série qu'elle a depuis écrite.
Secundo, les comédiens sont tous prodigieux ; enfin presque tous. Bon, disons surtout Ellen Page qui joue Juno (et sa délurée de pote interprétée par Olivia Thirbly), Michael Cera qui est Bleeker (c'est lui qui chante avec elle), et les parents, JK Simmons et Allison Janney (que je suis si heureux de revoir après la fin de The West Wing).
Enfin, et tertio, je n'ai pu m'empêcher de penser, tout le temps, à ma Juno et mon Bleeker à moi qui, en vf, s'appellent Geva et Christophe et du coup une bonne partie de tout ce bonheur ressenti est allé vers eux par vagues successives de good vibes que, j'espère, ils auront ressenties aussi.
L'histoire ne me tentait pas pourtant des masses et je n'avais fini par lancer le dvd dans un caddie qu'après m'être régalé avec THANK YOU FOR SMOKING du même Reitman. Mais ô combien j'ai eu raison et d'attendre et de l'acheter. Ce film est un pur bonheur, un moment cinématographique empli d'une grâce et d'une beauté qui défient toute analyse. Je sais que j'ai l'air outrancièrement lyrique et emphatique mais je ne vois pas comment qualifier autrement le contentement réel qui m'a fait rire tout le long et m'a collé des larmes de joie au moment du générique. Non, de la dernière scène dont j'ai récupéré la vidéo pour vous ci-dessous.
Deux, non trois raisons se détachent néanmoins, quand bien même je vais revoir très vite le film avec son commentaire.
Primo, le scénario et les dialogues de Diablo Cody sont une tuerie d'esprit, d'humour, de justesse et de légèreté empreinte de gravité. Ça m'a du coup donné envie de voir The United States of Tara, la série qu'elle a depuis écrite.
Secundo, les comédiens sont tous prodigieux ; enfin presque tous. Bon, disons surtout Ellen Page qui joue Juno (et sa délurée de pote interprétée par Olivia Thirbly), Michael Cera qui est Bleeker (c'est lui qui chante avec elle), et les parents, JK Simmons et Allison Janney (que je suis si heureux de revoir après la fin de The West Wing).
Enfin, et tertio, je n'ai pu m'empêcher de penser, tout le temps, à ma Juno et mon Bleeker à moi qui, en vf, s'appellent Geva et Christophe et du coup une bonne partie de tout ce bonheur ressenti est allé vers eux par vagues successives de good vibes que, j'espère, ils auront ressenties aussi.
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