C'était vendredi matin, à Dijon. Je prenais le petit déjeuner avec Géva et Tof. On parlait de choses et d'autres et on a évidemment fini par parler de livres. Et entre autres de L'échiquier du mal de Dan Simmons.
Plus ça va et plus je me dis que mes ami(e)s sont ceux avec qui, forcément, je parle de livres. Bon, d'accord, la musique, le cinéma, la politique, le syndicat et j'en passe ne comptent pas pour du beurre allégé mais les livres c'est ce qui fait la différence en fin de compte. Les bons livres échangés font les bons amis.
Et puis ça marche aussi avec la famille. Enfin ça peut. Par exemple, une de mes amies de lecture n'est autre que mariechat, ma soeur, avec qui, régulièrement, entre deux milliards de sujets plus ou moins graves et existentiels, on finit toujours par parler livres.
Lorsque j'étais hospitalisé en décembre dernier, mes visiteurs avaient tous des livres dont certains sont encore en attente au pied de mon lit. Je repense en particulier à un ami et collègue qui venait me voir et que j'ai croisé dans le couloir : on m'amenait en fauteuil pour je ne sais plus quelle analyse. Je n'ai pas eu le temps de discuter avec lui mais il a eu celui de me laisser un livre dans ma chambre.
Tout ça pour vous dire que le dernier XXI est sorti en librairie et que c'est toujours le plus beau livre en forme de magazine qu'on puisse offrir et ou se payer.
Plus ça va et plus je me dis que mes ami(e)s sont ceux avec qui, forcément, je parle de livres. Bon, d'accord, la musique, le cinéma, la politique, le syndicat et j'en passe ne comptent pas pour du beurre allégé mais les livres c'est ce qui fait la différence en fin de compte. Les bons livres échangés font les bons amis.
Et puis ça marche aussi avec la famille. Enfin ça peut. Par exemple, une de mes amies de lecture n'est autre que mariechat, ma soeur, avec qui, régulièrement, entre deux milliards de sujets plus ou moins graves et existentiels, on finit toujours par parler livres.
Lorsque j'étais hospitalisé en décembre dernier, mes visiteurs avaient tous des livres dont certains sont encore en attente au pied de mon lit. Je repense en particulier à un ami et collègue qui venait me voir et que j'ai croisé dans le couloir : on m'amenait en fauteuil pour je ne sais plus quelle analyse. Je n'ai pas eu le temps de discuter avec lui mais il a eu celui de me laisser un livre dans ma chambre.
Tout ça pour vous dire que le dernier XXI est sorti en librairie et que c'est toujours le plus beau livre en forme de magazine qu'on puisse offrir et ou se payer.
tendres baisers....
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