Je pars ce matin pour trois jours de congrès syndical à Batz-sur-mer alors je ne rafraîchirai ce blog que samedi.
Hier, après m'être réveillé en pente douce, je suis sorti, le cou protégé par mon écharpe hivernale (j'l'adore celle-la mariechat), pour aller acheter le journal dans la brume électrique de ce début d'automne-hiver. Puis je suis revenu sur mes pas pour reprendre ma voiture et aller faire deux courses à Intermarché. Là je suis tombé par hasard sur Carole et Dom avec qui j'ai bavardé quelques minutes et ça m'a fait bien plaisir de bon matin.
Enfin, entre autres produits de consommation essentiels, je me suis pris deux dvds de la collection RKO des Editions Montparnasse que je n'avais pas : MR. BLANDINGS BUILDS HIS DREAM HOUSE [Un million clés en main, 1948] de H. C. Potter et THE MOST DANGEROUS GAME [Les chasses du Comte Zaroff, 1932] de E. B. Schoedsack et Irving Pichel.
Je ne connaissais pas le premier alors que je suis un inconditionnel de Cary Grant, et en partiuclier de ses comédies. Avec lui, les épatants Myrna Loy et Melvyn Douglas (curieux qu'ils aient tous un y dans leur prénom ceux-là...). Potter est par ailleurs le réalisateur d'un de mes films fétiches (car vu enfant et jamais revu depuis) qui me fit mourir de rire, HELLZAPOPPIN'.
Quant à l'autre, je me souviens l'avoir vu au ciné-club de mon lycée quand j'étais en première (ou en terminale) et il m'avait fortement ébranlé par sa puissance évocatrice. Je ne savais pas alors que Shoedsack était le père de KING-KONG ni que Pinchel, qui fit aussi carrière comme acteur, réalisa aussi le sublime DESTINATION MOON en 1950 d'après le roman de Robert Heinlein. Et puis il y a aussi Joel McCrea et surtout Fay Wray, la belle du grand singe...
A samedi !
Prends soin de cette petite gorge..... a Samedi au tel!!!
RépondreSupprimerHeureusement que tu révises tes classiques !
RépondreSupprimerL'autre jour, j'ai vu, pour la première fois, "Je suis évadé d'une gang enchaîné en prison" avec Paul Muni, 1932.
Merveilleux.